15 décembre 2008
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00:32
Idem, bus, concert, coulisse, ignorer M. attendre, attendre, attendre. je ne vous réexplique plus.
M. répond a une interview dans un couloir, ça m'ennuie d'y assister mais comme je suis coincée et que si je veux traverser le couloir je dérange la caméra, si je vais de l'autre coté du couloir je reviens dans une pièce sans fenêtre qui pue la clope, l'alcool, les joints, la transpiration, bref qui pue donc je dois rester là. Mais ma gorge me pique, je tente de résister, mes yeux pleure puis je craque, je tousse, d'une bonne toux bien grasse. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ca fait du bien. M. à l'air d'avoir le coeur brisé de ne pas pouvoir venir me demander ce que j'ai (ben je tousse idiot, comme chaque fois que je tousse et qu'il me demandais "oooooh qu'est ce qu'il y a"). Le manager me regarde l'air de dire "merdouillette arrête" et l'équipe de télé est énervée. Oups. Mais ils enchainent, donc je ne peux pas passer.
Ma gorge me repique. mes yeux repleurent, M. me lance un oeillade, il a envie de rire de me voir toute rouge en train de m'étouffer pour ne pas tousser. le cameraman me regarde en soufflant, la journaliste leve les yeux au ciel, "mais c'est qui cette conne??" M. va se mettre en colère, le manager réagit au quart de tour "c'est me nièce", un mec me tend un verre d'eau, je tente de boire, mais je retousse et crache mon eau sur tout les gens dans le couloir. Je suis hyper génée, je perd mes moyens. Le manager enchaîne "elle va aller prendre l'air". J'accepte de bon coeur, toujours en toussant , je me prend les pieds dans un fil et me rattrape lamentablement a un mec. M. me met la main sur le bras quand je passe, moins je suis morte de honte. Il me fait un clin d'oeil et me sourit, je vois bien le "c'est pas grave je t'aime quand même calmes toi" mais je veux partir.
Je me retrouve dehors. Le musicien avec qui j'ai couché à Londrès est là, on ne s'est plus trop parlé depuis cet "incident". Il me demande si ça va, je me lamente un peu sur le fait que je suis une catastrophe alors que j'aimerais être une fille géniale qu'on regarde avec admiration. Il sourit mais me regarde bizarrement. Il approche sa tète de moi, je suis jeune mais pas stupide.
Je détourne la tête.Il pose sa main sur ma cuisse. je tente de la retirer mais il force, je panique je me lève pour partir.
"c'est bon paniques pas, je vais pas te violer, tu faisais moins ta difficile en europe"
"heu tu sais, j'étais perturbée, c'était pas forcement la meilleure chose a faire"
"t'as aimé ça, avoues"
J'ai pas eu le courage de lui expliquer que non vraiment j'avais pas aimé, et que ca n'avait meme decouragée de retenter avec un autre après, jusqu'à ce que je me sois remise avec M.
Ca n'arrivera plus, alors laisses moi". je me retourne et je repars chercher M.
"ce serait quand meme triste que M. apprenne ce qui s'est passé"
Voila j'étais perturbée, là je viens de sentir le sol se dérober sous mes pieds.
"Il t'en voudra aussi"
"m'en fout moi j'ai décidé d'arrêter de jouer pour lui"
Il va être content M. doublement content.
"Toujours pas décidée?" Il me débecte, dégoûte, file envie de vomir. je rentre. Je vais me terrer aux toilettes. J'y suis restée longtemps. Jusqu'à la fin du concert, et après encore. J'ai foncé dans le bus, roulée en boule avec un mal de ventre;Il avait fait tout ressurgir ce con, j'avais enfoui tout ces mauvais moments et en 5 minutes il faisait tout ressortir. M. arrive. Il s'assied a coté de moi, me prend dans ses bras et serre mon dos contre lui mais je le repousse "on est sensé être discrets dans le bus"
Il reste a coté de moi pendant le trajet, il me tient discrètement la main. On arrive dans la chambre, j'ai juste le courage de me mettre en culotte et t-shirt sous la couette.
"tu m'inquiètes qu'est ce qui se passe??"
Je me met a pleurer. Il me console. Je finis apr me décider.
"Tu vas bientôt me détester parce que j'ai fait un truc après qu'on se soit séparés a Londre". Je m'apprête a voir la déception , la trahison dans son regard.
"quand t'as couché avec le musicien?"
Heu..oui, je fais des yeux tout rond.
Ni déception, ni désespoir, ni cris , ni larmes. Je ne lirai plus jamais Shakespeare.
"tu savais?"
Il se marre (en plus, saligaud) "c'est pas le mec le plus discret de la terre ce blaireau"
"et tu m'en veus pas?"
"après ce que j'ai fait,je sais pas si je suis bien placé pour t'en vouloir"
Ouais moi je pardonne tjs tout aux autres, mais jamais a moi
"ouais mais c'est ton ami"
"bof, tu sais on s'entend plus trop"
Je suis perplexe. Il me prend dans ses bras et m'embrasse la tempe.passons, il n'a pas l'air de vouloir s'éterniser sur ce sujet.
Je pense que M. et ce débile ont du avoir une discussion, parce que le musicien n'a meme pas attendu la fin de la tournée pour partir, et qu'il a du être remplacé au pied levé.Ce qui a valu a M de longues heures de "mis non merdouillette, c'est pas ta faute, mais oui merdouillette ça devait arriver, mais non merdouillette t'es pas une fouteuse de merde".
Puis j'ai oublié.
M. répond a une interview dans un couloir, ça m'ennuie d'y assister mais comme je suis coincée et que si je veux traverser le couloir je dérange la caméra, si je vais de l'autre coté du couloir je reviens dans une pièce sans fenêtre qui pue la clope, l'alcool, les joints, la transpiration, bref qui pue donc je dois rester là. Mais ma gorge me pique, je tente de résister, mes yeux pleure puis je craque, je tousse, d'une bonne toux bien grasse. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ca fait du bien. M. à l'air d'avoir le coeur brisé de ne pas pouvoir venir me demander ce que j'ai (ben je tousse idiot, comme chaque fois que je tousse et qu'il me demandais "oooooh qu'est ce qu'il y a"). Le manager me regarde l'air de dire "merdouillette arrête" et l'équipe de télé est énervée. Oups. Mais ils enchainent, donc je ne peux pas passer.
Ma gorge me repique. mes yeux repleurent, M. me lance un oeillade, il a envie de rire de me voir toute rouge en train de m'étouffer pour ne pas tousser. le cameraman me regarde en soufflant, la journaliste leve les yeux au ciel, "mais c'est qui cette conne??" M. va se mettre en colère, le manager réagit au quart de tour "c'est me nièce", un mec me tend un verre d'eau, je tente de boire, mais je retousse et crache mon eau sur tout les gens dans le couloir. Je suis hyper génée, je perd mes moyens. Le manager enchaîne "elle va aller prendre l'air". J'accepte de bon coeur, toujours en toussant , je me prend les pieds dans un fil et me rattrape lamentablement a un mec. M. me met la main sur le bras quand je passe, moins je suis morte de honte. Il me fait un clin d'oeil et me sourit, je vois bien le "c'est pas grave je t'aime quand même calmes toi" mais je veux partir.
Je me retrouve dehors. Le musicien avec qui j'ai couché à Londrès est là, on ne s'est plus trop parlé depuis cet "incident". Il me demande si ça va, je me lamente un peu sur le fait que je suis une catastrophe alors que j'aimerais être une fille géniale qu'on regarde avec admiration. Il sourit mais me regarde bizarrement. Il approche sa tète de moi, je suis jeune mais pas stupide.
Je détourne la tête.Il pose sa main sur ma cuisse. je tente de la retirer mais il force, je panique je me lève pour partir.
"c'est bon paniques pas, je vais pas te violer, tu faisais moins ta difficile en europe"
"heu tu sais, j'étais perturbée, c'était pas forcement la meilleure chose a faire"
"t'as aimé ça, avoues"
J'ai pas eu le courage de lui expliquer que non vraiment j'avais pas aimé, et que ca n'avait meme decouragée de retenter avec un autre après, jusqu'à ce que je me sois remise avec M.
Ca n'arrivera plus, alors laisses moi". je me retourne et je repars chercher M.
"ce serait quand meme triste que M. apprenne ce qui s'est passé"
Voila j'étais perturbée, là je viens de sentir le sol se dérober sous mes pieds.
"Il t'en voudra aussi"
"m'en fout moi j'ai décidé d'arrêter de jouer pour lui"
Il va être content M. doublement content.
"Toujours pas décidée?" Il me débecte, dégoûte, file envie de vomir. je rentre. Je vais me terrer aux toilettes. J'y suis restée longtemps. Jusqu'à la fin du concert, et après encore. J'ai foncé dans le bus, roulée en boule avec un mal de ventre;Il avait fait tout ressurgir ce con, j'avais enfoui tout ces mauvais moments et en 5 minutes il faisait tout ressortir. M. arrive. Il s'assied a coté de moi, me prend dans ses bras et serre mon dos contre lui mais je le repousse "on est sensé être discrets dans le bus"
Il reste a coté de moi pendant le trajet, il me tient discrètement la main. On arrive dans la chambre, j'ai juste le courage de me mettre en culotte et t-shirt sous la couette.
"tu m'inquiètes qu'est ce qui se passe??"
Je me met a pleurer. Il me console. Je finis apr me décider.
"Tu vas bientôt me détester parce que j'ai fait un truc après qu'on se soit séparés a Londre". Je m'apprête a voir la déception , la trahison dans son regard.
"quand t'as couché avec le musicien?"
Heu..oui, je fais des yeux tout rond.
Ni déception, ni désespoir, ni cris , ni larmes. Je ne lirai plus jamais Shakespeare.
"tu savais?"
Il se marre (en plus, saligaud) "c'est pas le mec le plus discret de la terre ce blaireau"
"et tu m'en veus pas?"
"après ce que j'ai fait,je sais pas si je suis bien placé pour t'en vouloir"
Ouais moi je pardonne tjs tout aux autres, mais jamais a moi
"ouais mais c'est ton ami"
"bof, tu sais on s'entend plus trop"
Je suis perplexe. Il me prend dans ses bras et m'embrasse la tempe.passons, il n'a pas l'air de vouloir s'éterniser sur ce sujet.
Je pense que M. et ce débile ont du avoir une discussion, parce que le musicien n'a meme pas attendu la fin de la tournée pour partir, et qu'il a du être remplacé au pied levé.Ce qui a valu a M de longues heures de "mis non merdouillette, c'est pas ta faute, mais oui merdouillette ça devait arriver, mais non merdouillette t'es pas une fouteuse de merde".
Puis j'ai oublié.