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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 14:03

Prix du Meilleur Premier Film Canadien au Festival de Toronto 1997, ce film de Vincenzo Natali est un huis-clos offrant plusieurs interprétations.

Le film :

Un policier, un ingénieur, une mathématicienne, un médecin et un autiste. Cinq personnes que rien ne relie. Pourtant, toutes vont se réveiller dans un Cube sans comprendre la raison de leur présence ni la manière dont ils sont arrivés là. Tout en apprenant à se connaître, ils vont tenter d'avancer de salle en salle du Cube pour trouver la sortie. Il leur faudra éviter les pièges mortels qui se trouvent dans certaines des pièces du Cube.

Les interprétations :

On peut interpréter le Cube comme une représentation de la vie sur terre. En effet, comme les personnages dans le Cube, l'homme ignore la raison de sa présence ou le sens de la vie. On peut comparer la vie à un long cheminement semé d'épreuves et d'obstacles qu'il faut contourner pour pouvoir avancer, sans savoir où l'on va.

Le film met aussi l'accent sur la nature humaine, chaque protagoniste révélant sa vraie nature au fur et à mesure que les choses empirent. Le réalisateur a donc choisi d'interpréter la vie en groupe comme une lutte continuelle pour le pouvoir, la loi du plus fort faisant office de loi. Face à l'adversité, l'homme redevient animal et fait voler en éclat les lois que la société lui a imposé. L'instinct de survie surpasse dans ce film les règles de conduite en société.

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 15:36

Pour bon nombre de blogueurs, il vient un moment où se pose la question : faut-il monétiser son blog ?

Voici un guide des différentes possibilités qui s'offrent à vous pour rentabiliser le temps que vous passez à rédiger votre blog.

Choisir une plateforme qui vous rémunère directement

Vous pouvez choisir d'ouvrir (ou de transférer) votre blog sur une plateforme qui se chargera d'y diffuser de la publicité et vous reversera une partie des gains. Le plus

La simplicité, tout est géré par la plateforme. Le moins

Le manque de liberté (la plateforme décide où mettre les publicités), des gains qui peuvent être moindre comparé à une régie publicitaire.

%%%

Passer par une régie publicitaire

Vous pouvez ouvrir un blog sur une plateforme ne proposant pas la rémunération et placer vous-même les publicités sur votre blog. Les régies publicitaires proposent généralement de rémunérer :

Pour 1000 impressions, d'une bannière ou d'un bloc de publicité, la rémunération pour 1000 vues varie selon la régie, le sujet du blog et de la publicité.

Par clic

Chaque personne cliquant sur une publicité ou un lien vous rapporte une certaine somme d'argent, variable elle aussi.

Par affichage de vidéo

La régie vous donne une vidéo à afficher sur votre blog, chaque visionnage vous rapporte entre 2 et 5 centimes.

Les articles sponsorisés ou publi-rédactionnels

La différence étant que les premiers sont rédigés par le blogueur et les seconds par la marque. La rémunération varie énormément allant de 30€ à 300, voire plus pour de très gros blogs.

Les plus

Les régies permettent de cibler le sujet des publicités que l'on diffuse et d'être plus autonome quant à la disposition des publicités.

Les moins

Il est parfois difficile de s'y retrouver dans le grand choix de régies publicitaires présentes sur Internet.

Démarcher vous-même

Si votre blog a atteint un certain nombre de lecteurs, il vous est possible de contacter les sociétés dont les produits correspondent au sujet de votre blog et leur proposer l'achat d'un encart de publicité sur votre blog.

Les plus

Une liberté totale, vous maîtrisez tout de A à Z.

Les moins

  • Vous devez calculer vous-même le prix pour que cela ne soit ni trop cher pour l'annonceur, ni trop bon marché pour vous.
  • Vous gérez toutes les négociations et les contacts sans intermédiaire.

Il ne reste plus qu'à décider quelle solution convient le mieux à votre blog.

Tirelire
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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 15:42

Après des mois (et des mois et des mois) ou je ne suis plus venue sur mon blog, me revoila.  J'ai essayer d'oublier en ne l'evoquant plus du tout, mais ca n'a pas marché je pense de plus en plus à venir le continuer, voir le terminer.. Il faut juste que je trouve le courage et que je me lance, cela devrait etre salutaire pour totalement passer a autre chose.

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 06:47
Je manque de temps pour le moment pour ecrire, et de courage aussi pour me replonger dans tout ca. Mais je reviens des que je peux.
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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 23:29
On approche donc de noel 1990 et quelques.

On prend le train, je rale un peu pour la forme, j'avais pas envie d'eller jusque paris, puis il m'a mise devant le fait accompli , puis "merdouillette tu veux que je t'achete un gateau pour le train" ok M. j'arrete de raler. Je suis toujours heureuse la bouche pleine de sucre lol.

M. revient à la charge discretement "j'en ai un peu marre d'habiter là ou on habite, j'ai envie de partir dans une ville neutre, ou on ne connaitrait personne, et d'etre loin de tout les gens qui me mettent la pression, je pourrais composer et ecrire tranquilement"

"t'etais pas sensé te  tenir a l'ecart de la musique quelques mois?"

Il n'a rien repondu je savais que c'etait peine perdue, que je le rendrais malheureux en lui demandant ca, et que je ne le rendrais jamais malheureux volontairement.

"Tu peux composer chez nous non?"

"je suis fatigué de tout ca" je ne me rappele plus de comment j'ai esquivé la discussion, ni de quoi on a parlé après mais je me rappele de son air las et triste en me disant ces mots.Il etait VRAIMENT epuisé de toute cette pression, il avait de sproblemes au dos, au genoux et des insomnies et ca depuis deja des semaines avant la fin de sa torunée. Mais là elle etait finie sa tournée, je ne voyais pas ou etait le probleme, a la maison ou a hawai c'etait pareil il avait le temps de se reposer.

On est enfin arrivé à paris, M. avait l'air heureux, moi je regrognonais, et hop j'ai eu droit à un chocolat chaud et des gateaux et deux pulls (pourrie gatée que j'etais par M. , je l'avoue il ne me refusait jamais rien, oui j'ai un peu honte aujourd'hui).

M. avait l'air d'un imbecile heureux, moi d'une fille qui tire la gueule (oui le gateau a un effet anti grgnage a duree limité chez moi). Mais bon ca ne dure pas longtemps, de voir M. heureux (et glisser sur de gel et se cocgner la tete dans un poteau je l'avoue) suffit a me redonner le sourire. On est restés 5  jours, on est pas enormement sortis de la chambre, on  avait besoin de se retrouver, de se parler, juste d'etre dans notre bulle (et de faire pouki pouki mais bon pas que quand meme lol) .

Lors du trajet de retour, M. me parlait, je l'ecoutais distraitement, mais tout a coup je réagit

"t'as dit quoi là?"

"??"

"t'as encore l'appart dans ton ancienne ville" (celui ou on a brievement habité qu'il avait laissé a une de ses amies quand on est repartis, je pensais qu'il avait finit par arreter de le louer)

"ben oui pourquoi"

"tu loues un appart vide? On ne va pas y retourner quand meme"

"il est pas vide"

Ca m'enervaiiiiiiiiiiiiiit, mais d'une force. Bon c'etait son argent, son amie (je la detestais mais bon).

"tu sais si tu me quittes tu pourras relouer un appart M. pas besoin de garder celui la". S'en est suivit une heure de mais non, je te jure je ne le garde pas pour ca, je veux juste un pointe, de chute si on y retournes, puis ca depanne mon amie , puis tu les deteste toutes mes amies (pas faux) , ca depanne mon petit frere aussi (ce qui etait vrai) .Je le savais tout ca dans le fond mais quand meme, ca m'embettait. Mais comme M; reprenait l'avion le soir  j'ai sourit et je suis passée a autre chose. enfin après lui avoir précisé "tu pourrais quand meme lui fairepayer un loyer a cette fille".

Il m'a sourit tendrement, je le savais tres bien que c'etait pas songenre de faire ca, il etait trop genereux (meme avec moi si on pousse la reflexion a fond).



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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 23:31
C'etait mon dernier jour d'examen. M. et moi on a donc feté ca en mangeant. M. est grognon, il en a marre de rester chez moi, je le comprend, il n'a plus 16 ans. Puis même si il avait encore 16 ans ca le soulerait.

Il veut aller à Paris, je ne voulais pas. Il insiste, on y va 5 jours puis on rentre a temps pour le depart. Grrrgnnnnneugnneeuuuu.

"M. on part pas dans trois jours, on part dans 9 jours". Il se sent tout bete,  décidément, il n'etait pas doué pour les dates, ni pour m'ecouter. "J'etais sur que t'avais dit.." "NON" Là je faisais vraiment la gueule. On allait pas passer noel ensemble. Mais bon il avait l'air tout triste, et de toute facon ca nous evitait la question existencielle "qu'est ce qu'on fait à Noel?" Maman M. n'aurait jamais laché son fils adoré, ma mère s'en fiche de noel mais je n'aurais pas voulu passé noel avec elle. Alors je lui sourit et déciode de ne pas etre ingrate. J'avais déjà eu de la chance de le voir.

"et en plus si on se quitte  jours on sera heureux de se retrouver. Si ca c'est pas de l'argument. Il a eu l'air convaincu.

On discute de tout et de rien. A un moment il m'a regardé en silence puis m'a dit que j'avair heureuse

"ben oui je suis heureuse de te voir" Espece d'idiot lol

"non t'as l'air heureuse en général, detendue, t'as pas l'air de subir les autres" Il marquait un point. Mais je n'etais pas habituée a discuter comme ca avec lui, les vieux reflexes d'esquive pour ne pas le blesser reviennent.Je tente de lui expliquer que c'est parce que je suis soulagée que mes exams soient finis, il me dit qu'il sait que je m'en foutais, je lui dit que c'est d'etre de retour chez moi, il me regardait de son regard perçant et me repondait que je n'etais pas si heureuse quand on etait revenus y'a six mois. Je tente un "les fetes de noel me rendent toujours heureuse" mais il ne m'a pas crue.

"Moi ca me fait du bien d'etre un peu loin de la maison des gens là-bas, de pouvoir etre à deux sans pression"
 

Bon ok il voulait qu'on discute, apres tout je devais apprendre à me livrer, je lui avoues que c'est dur pour moi de devoir vivre dans son ombre, de supporter son manager et sa maison de disques qui sont  oppressants, ses amis musiciens qui passent nimporte quand ses "fans" (grand mots, c'etait pas justin timberlake mais quand meme), les filles qui le collaient. Bref j'avoue enfin que j'en bave. Mais je lui mens encore par omission, je ne  lui dit pas que c'est destructeur de devoir se construire en vivant avec quelqu'un d'adulé, que je finissais par perdre la notion de realité et par ne plus savoir que les gens qu'on  cotoyaient ne representaient pas toute la population mondiale, mais on finit par avoir une vision fausse de la realité, forcement les gens qui venaient l'ecouter chanter venaient pour lui, les gens qui venaient lui parler apres l'aimaient, l'admiraient, le mettait sur un pied d'estale. Alors je finissais par me sentir minable, et me dire que je ne comptais pas pour M. Et tout simplement je ne savais pas me construire face a l'image que les gens me renvoyaient de M. la competition etaient perdue d'avance, il etait parfait, moi pas, il etait genial, moi pas, les gens lui parlaient, ils m'ignoraient.  Mais tout ca je ne lui ai pas dit.

Il me parle de l'envie qu'il a depuis quelque temps de partir vivre dans un autrre etat, loin des gens qu'il connait, je balaye d'un revers de la main, ma mere ne voudra pas, et je sais qu'il fait ca pour moi, je ne veux pas.Il n'insiste pas.

"Et pour Paris?" j'avais oublié de quoi il parlait. Apres avoir tenté de résisté, j'esquive en disant on verra plus tard.On rentre et M. dit à ma mère cash " Merdouillette et moi on envisage de passer deux ou trois jours à Paris, ca vous derange?" le porc.. Vas-y maman rabats lui son clapet "bien sur que non" traitresse.

J'ai fait la tete en allant dans le fauteuil mais il m'a chatouillé, m'a parlé en prenant un vois debile, m'a mit sa langue dans l'oreille (je detestais ca mais finissais toujours par rire) alors comme chaque fois j'ai arreté de faire la tete en me promettant de lui resister la prochaine fois. Et j'y croyais en plus lol
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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 21:00
Le lendemain donc, enfin quelques heures plus tard. Je petit déjeune avec ma mere, ma soeur et mon frere, ma soeur n'ayant plus d'examens elle etait a l'université. M. comatait encore, je ne sais pas comment le bruit qu'on faisait dans la cuisine ne l'avait pas réveillé. Ma mère me demande si je ne suis pas trop fatiguée "heu ca va" elle me sourit d'un air suspicieux. J'ai rien fait, bord******l. Je pars à mon examen, un peu triste de laisser M. j'ai hate d'etre mercredi pour avoir finit. Je serais presque jalouse de laisser Sophie avec mon chéri mais vu qu'elle ne le calcule pas, je souhaite juste très fort qu'il ne passe pas une mauvaise matinée et mon beau père qui du coup ne bosse pas. Je me hate de passer ce foutu examen, j'espere qu'il sera à la sortie , mais non, pourtant en juin il venait, c'est la même école. Je me hate de rentrer et retrouve mon lapinou assis à la table de la cuisine. Je lui demande comment ca va, veut l'embrasser mais il se retire prudement. Heu oui.. Pourquoi avait il l'air d'un chevreuil qui voit les phares d'une voiture foncer vers lui. Je lui demande si ca va, il me repond oui , tétanisé. Comme si on lui pointait un flingue dans le dos. Heu ouais. Je vérifie sous la table, pas de tueur en série. C'est là que mon grand frere entre dans la pièce. Pas Sam (qui à un an de plus que moi, 17 ans donc faisait deja 1m80), non le tout grand. Celui qui a une dizaine d'année de plus que moi et un bon deux mètres bien tassé a lui tout seul.Ah d'ou l'expression de chevreuil. Il me fusille du regard. "J'espere pour toi que t'as reussit tes exams sinon ca va aller mal".Un silence de malaise s'est installé moi je riais parce que je le connais mon frere, il ne me frapperait pas. M. est moins confiant, il fait un m 70 les bras levé (j'ai tjs maintenu qu'il n'atteignait pas le metre 70, il a toujours pretendu qu'il mesurait 1m 71, ouais ouais mon cheri). Puis le charisme de M. n'a aucun effet sur ma famille, Sam lui a mit un pain et n'ajamais été sensible a son blabla, Josh non plus. Des que M. tentait de parler il se prenait un regard glacant. A la fin il ne parlait plus mais dès qu'il faisait un geste il se prenait un regard de tueur de mon frere, donc il ne bougeait plus :D Et moi je riais, j'avais beau lui mettre des coups de pieds sous la table il ne me regardait pas, il fixait son verre d'eau. C'etait ridicule, je finis par le prendre par la main et l'emmener dans ma chambre, ma soeur etait là, niveau intimité on repassera, un appart trois chambres pour 7 personnes c'est pas le reve. Je voudrais nier cette evidence, mais je dois etudier, Sophie propose à M. d'aller avec elle voir l'exposition photo d'une amie. J'ai mal au coeur je veux qu'il reste pres de moi mais le pauvre il va devenir fou dans cet appart (la je crois que j'ai eu ma vengeance de thanksgiving avec sa famille, niark niark). Il part donc avec ma soeur (en me glissant à l'oreille "il a de la chance que je suis de bonne humeur sinon je me le faisais ton frere" MDR ). Mon frère est venu m'engueuler, je l'ai remercié, lui promettant de le rajouter a la liste des gens qui trouvaient que M. et moi on avait rien a faire ensemble, mais là je devais etudier, au moins ca m'a servit ces foutus exams. M est rentré dépité. "Vous êtes immunisé contre moi dans cette famille, j'ai fait ce que j'ai pu, elle m'aime pas ta soeur". Y'avait pas qu'elle mon cheri "mais si elle t'aime. Ca le perturbait vraiment de nepas reussir a se faire aimer, il avait tellement l'habitude d'être entouré de gens qui l'admiraient et le flattaient, je crois que dans le fond ca lui faisait du bien d'être un peu remis les pieds sur terre. Il a finit par râler contre ce pays humide, c'est vrai qu'il avait pas l'habitude du froid humide, on s'est blottit l'un contre l'autre dans mon lit alors que je finissais d'etudier. Pour celle qui trouveront ca chou, mes soeurs etaient dans la piece, ca casse un peu l'ambiance cocooning romatique
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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 23:07
On con tinue  le repas, heureusement que me mere pense a proposer à M. une assiete moi je mangeais devant son nez sans penser à lui en proposer.  tout à coup mon beau père, l'equivalent pour M. de sa mere pour moi, lui demande

"alors, vous avez reservé un hotel ou?"

je suis bouche bée,je vais lui hurler dessus, pour qui il se prend il n'est meme pas mon pere, il veut juste jouer le coq.

"j'ose esperer que M; ne nous a pas fait l'insulte de réserver un hotel alors qu'il sait qu'il est le bienvenu chez nous" , a repondu ma mere avec un grand sourire qui veut dire , un mot de plus a ce sujet de la part de qui que ce soit et c'est ma fourchette dans ma fesse droite.

Le soir M. et moi etions sur un petit fauteuil une place, ma mere et mes soeurs sur la canape et mon beau pere sur l'autre fauteuil, mon frere par terre contre la baie vitrée, on manquait un peu de place. On regardait la tele, dans le noir, en francais M. regardait poliment mais ne devait pas comprendre un traitre mot. Il a passé sa main  derriere mon dos. et m'a attirée vers lui, a passé sa main sous mon tshirt pour me caresser le dos et posé sa tete dans mon cou. D'habitude je me serais eloignée mais pas ce jour là, je m'en fichais qu'il y ai des gens autour de nous, ou de la famille, je me sentais plus apaisée, plus sereine, prete a accepter des gestes de tendresses.

ET puis personne ne nous voyait comme on etait mis, enfin sauf mon frere, qui a regardé bizarrement la main de M. puis mon beau pere qui a regardé bizarrement mon frere regardant bizarrement la main de M. J'ai soudainement eu l'impression de tourner dans un porno hardcore. J'aurais bien reculé un peu mais avant d'avoir eu le temps de réagir mon beau pere se levait  "bon demain vous avez examen les amis, faut aller vous coucher, je vais vous chercher des draps pour dormir dans le fauteuil"

Ma mere proteste qu'il peut quand meme dormir avec moi (heu moi merdouillette pas moi ma mere lol).

"non"

On l'a dit en meme temps mon beau pere et moi,  lui on sait pourquoi, mais tout le monde se tourne vers moi "heu je prefere etre seule pour mieux dormir et etre en forme pour mon examen". En fait je suis hyper mal a l'aise a l'idee de dormir dans la meme chambre avec M (alors qu'on l'avait fait quand on avait ete dans un chalet avec M. ma mere et mes soeurs, mais là c'est tout petit, ca me gene, d'autant plus que heu..hum.. M me rendait souvent completement folle et j'avais du mal a etre discrete. Je crois d'ailleurs qu'on a du reveiller sa mere une fois deux a thanksgiving, ce qui m'avait horriblement géné).

Bref, M. se couche dans le canape lit, moi dans mon lit, mais je n'arrive pas a dormir, forcement c'etait courru d'avance, mon ptit coeur (et mon ptit corps aussi avouons le) savent que M est à 5 metres. J'attend donc le plus possible, tente de me retourner dans tout les sens, fixe le plafond, deux heures plus tard, mes soeurs dorment, moi pas, je me leve et vais voir si M. est réveillé.

Il était etendu sur le dos, les bras derriere la tete, fixant le plafond, il me voit et me dit "j'ai cru que tu ne viendrais pas "le pauvre si il savait que j'ai fait tout ce que j'ai pu pour nepas venir, il me tire par le bras et me couche sur lui, on s'embrasse, mais je l'arrete je ne veux pas aller plus loin, il sourit, oui je sais je suis tetue comme une mule. Je me suis mise sur le coté, la tete sur mon bras, a le regarder, il a fait pareil, on ne se parlait pas , on etait juste la a se regarder et a se sourire, j'etais si heureuse, je me sentais sereine, je ne sais pas exactement a quel moment mon blocage avait sauté ces derniers jours mais j'etais certaine de l'aimer de vouloir etre avec lui, et surtout je le sentais qu'on allait avoir une periode heureuse et sereine, pouvoir profiter du temps libre de M. de la vie, sans se prendre la tete comme on le faisait depuis 11 mois. Juste parce que je m'y sentais prete. Je me rappele de ce moment comme si c'etait hier. Mon bonheur a du se lire sur le grand sourire que je lui ai fait, plein de douceur et debordant d'amour. Il m'a dit  "il y a un truc de changé chez toi", j'ai comme d'hab comprit de travers et je lui ai repondu "non j'avais deja ce t-shirt tout a l'heure, il a rit et a tenté de ne pas etre trop bruyant, puis m'a expliqué. Je lui ai alors repondu "te moques pas, tu verras quand t'auras mon age" Ca l'a fait rire, fort cette fois. purée j'aurais mieux fait de coucher avec on aurait fait moins de bruit.

Je decide donc de regagner mon lit, je me leve, il m'attrape et me retire vers lui, me couche sur lui enfin lui sous les draps moi au dessus) m'embrasse partout en me disant qu'il m'aime  je ris en le repoussant la si les gens trois etages en dessous sont pas reveillé c'est qu'ils ont le someil lourd. J'essaye de me glisser hors du lit mais il use de sa vieille technique qui consiste a enrouler ses jambes autour de moi ses bras aussi, je suis coincée , il est con mais je ris. "Laches moi M. j'ai un examen demain" "j'ai envie de toi" "oui j'ai sentit mais je dois aller dormir laches moi" il a tenté de me faire sa moue tirste, celle qu'il ne reussisait jamais d'ailleurs. J'ai rit mais je commencais a perdre patience, mais bon, le plaisir de retrouver cette complicité stupide, de voir M. pas serieux a primé à primé sur le "oh mon dieu je vais l'assomer". J'arrive a le fuire et a retourner dans mon lit en riant mais en ralant quand meme contre lui mais bon vu cet air mi ange mi demon avec son regard rieur j'ai pas pu lui en vouloir .

je me glisse sans bruit dans mon lit et j'ai a peine le temps de vori arriver la tape sur ma tete de ma grande soeur. Ah elle est reveillée, j'aurais vraiment mieux fait de coucher avec M.
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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 18:54
Pour cette semaine là en tout cas. Je passe donc mon examen. Je parle au téléphone à M. le soir.On ne se dispute pas. Le lendemain, j'attend j'attent, j'attend , pas de coup de téléphone de M.  je me dit qu'il est peut-être faché de toujours m'appeler alors je l'appele. Il repond pas. Je le rappele .Il ne repond pas. Je rappele toute les demi heures. Rien. Le telphone a bien sonné mais je n'ai pas repondu a temps et on a pas de repondeur, je tente de rappeler M. mais toujours rien.

Le lendemain , dans l'apres midi, je rappel. Tout les quart d'heures. Là je panique sur qu'il est partit vivre avec une autre fille, qu'il allé me tromper ou qu'il est dans un ravin apres un accident de voiture. "merdouillette tu dramatises" peut être mais bon "retournes etudier ou je coupe le telephone et il pourra pas te rappeler. Snirf non pas ca.

Le soir je suis anéantie, je larmoie interieurement quand on sonne a la porte sonne,  ma soeur va ouvrir pensant voir une amie qui passe la voir pouyr profiter de son retour, elle dit juste "hey salut qu'est ce que tu fais là?" Oui mais elle l'a dit en anglais. Moi je sursaute, mon  coeur s'arrete de battre et je regarde la porte de la cuisine en me tordant le cou pour voir qui c'est. Puis je le vois. LUI. Mon M. J'ai entendu un enoooooorme cri percant, sans meme me rendre compte que c'etait moi qui criait. Je lui ai sauté au cou en pleurant, j'ai oublié ma pudeur excessive et legendaire pour le couvrir de baiser,  je me fais houspiller par toute ma famille mais je m'en fous.

Maman merdouillette finit par remettre de l'ordre dans cette cacophonie "Sam, tu arretes de raler, manges, Merdouillette arrete vient t'asseoir, Sarah arrete de regarder manges, Merdouillette arreeeete viens manger, Sophie, arrete de jouer les pruuuudes, maaaaaaaaaaaaaaaanges , merdouuiiiiiiiiilleeeeeeeeeeeeeette" M. à cedé et finit par m'attraper par la taille et m'eloigner un peu de lui, en me regardant d'un regard malicieux et rieur.

On va s'asseoir "qu'est ce  que tu fais là?"  "ben je t'ai dit que je venais " "heu??" "je savais que tu n'ecoutais pas quand je parlais, c'est comme ce jour ou une fille qu ej econnais a demenagé" ils ont rit  moi j'ai ralé.Puis je me suis rappelée qu'effetcivement je lui ai dit qu'il me manquait bcp et que j'etais trsite qu'il ne soit pas venu avec nous, en plus avec ces decoratiosn de noel aprtout c'etait deprimant. Ce a quoi il a répondu "je vais tenter de venir merdouillette" que j'avais prit pour une pathetique tentative de se rattrapper pour les semaine sd'avant, mais je ne pensais pas qu'il essayerait vraiment de venir et surtout qu'il reussirait a trouver un avion (et chtoc, si j'ecoutais quand on me parlait). Je n'avais meme pas preté attention a ce qu'il avait dit. Il n'etait pas revenu dessus, pour moi le chapitre etait clos.

"taurais pu m'appeler pour me dire quand t'arrivais, je me suis inquietée" "ben je t'ai appelé ca n'a pas repondu" ah ouais c'est vrai

"ben quand meme" reponse typique de la fille de mauvaise foi, ca veut dire la discussion est close t'as tord et j'ai raison.

J'ai boudé un peu en regardant mon assiete (heu pourquoi? ben je savais pas, mais faut bien faire la chieuse un peu de temps en temps), M. m'a prit la tete et  a posé un baiser tout doux sur ma tempe "ooooh je suis désolé ma merdouillette". Il avait plein de defauts mais au moins une qualité, quand je faisais ma chieuse a cause de la fatigue, ou du stress ou de que sais-je il rendait les armes et me consolait. C'est comme si moi je ralait ou je me fachais et il entendait le "je me sens pas dans mon assiete aujourd'hui  j'ai besoin de tendresse" qui se cachait derriere et ca ratait pas il me calmait et me consolait. Comment on resiste a son cheri qui vous dit qu'il est desolé alors qu'il sait meme pas pourquoi, ben je sais pas j'ai pas résisté, et mes soeurs et ma mere non plus a voir la larmounette qui poinatait dans leurs yeux attendris
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22 juillet 2009 3 22 /07 /juillet /2009 20:14
J'arrive la bas et c'est le choc. J'etais totalement dépaysée. Comme déracinée. Je ne me sentais plus chez moi. Et M. m'a violement manqué d'un coup (ben oui parce que c'etait pas du tout son genre de me preparer une surprise, et ca m'aurait pas plu qu'il complote ca dans mon dos avec ma mere de toute facon, en bonne chieuse que je  suis).

Donc premier jour je me traine, la levre tramblotante de desespoir, le regard mouillé, les pieds trainant tout le malheur du monde

"Merdouillette t'exageres pas un peu?"

ben non c'etait pas mon genre :D J'ai quand meme finit par aller etudier dans ma chambre pour fuire ma soeur et ma mere qui etaient en pleine seance de moquerie sur ma personne.

M. m'a appelé, la voix morne , me demandant pourquoi j'avais une drole de voix "rien rien je suis fatiguée"

Deuxieme jour je me traine de mon lit a ma douche,  de ma douche a la table a manger, et sous les rires et les moqueries de ma meres et mes soeurs je me retraine, la moue desespéré dans ma chambre pour etudier. M. m'appelle, rien de spécial.

Troisième jour, je me traine a l'ecole, passer ces foutus examens. Mes soeurs et moi on est les attractions. Moi je m'en fiche. Je vois juste des fantomes d'une vie lointaine et je m'en fiche de ce qu'il pense de moi, en bien ou en mal. Tiens, ca devait être le premier signe de maturité (non? Ah bon lol). Je passe donc ce foutu examen. Histoire. QUi etait roi de France en telle année. Heu je sais pas.. M? Qui a sign& le traité machin truc? Heu M?Qui a decouvert la penilicine ? Ah ben ca ca peut etre que M, il est trop fort mon M. A ce moment la la surveillante m'a tapé sur lepaule pour me demander ce qui me faisait rire. Heu rien, rien.  Bon j'ai quand meme eu 17/20  a cet exam, j'ai pas du repondre M. partout.

Le quatrieme jour apres l'exam de Math, je craque, je pleure au telephone "tu me maaaaaaanques"

"Mais tu reviens dans 5 jours"

Maikilècon maikilècon "M. je reviens dans deux semaines"

"t'es sure?"

Heu attend que je compte sur mes doigts "ben oui"

"j'etais sure que tu revenais dans 5 jours"

"j'etais sure que tu ne m'ecoutais pas quand je parlais"

S'en est suivie une chamaillerie memorable ou j'ai oublié qu'il me més ranquait quand il m'a rappelé l'histoire d'une fille qui a dit oui a un demenagement sans le savoir car elle n'ecoutais son cheri. Gougnafier.  (Faut dire c'est resté dans les memoires ma mere m'en a reparlé y'a une semaine, ca me colle a la peau cette histoire)

Bref au bout de 20 minutes on ne savait plus pourquoi on  etait faché, on s'est quittés en se disant qu'on s'aimait et je me suis plongée dans mes révisions.
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