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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 01:08
En ouvrant les yeux, de découvre un M. déjà réveillé qui me sourit. J'ai droit à des caeaux sur la table de déjeuner.Je suis émue

"tu ne pensais quand meme pas que j'allais oublier" Non mais je pensais ne pas mériter qu'on fete mon anniversaire. "Tu sais que maintenant je ne fais plus rien d'illegal dans au moins 25 pays, quand je couche avec toi" Il est bete il arrive à me fare rire. Meme si cette envie de pleurer qui ne me quitte plus depuis des jours est toujours là, sans que je sache pourquoi. Je mange mon croissant conscienscieusement en le regardant. Il est beau, j'avais presque oublié à force de raler.Il me regardait avec douceur , sa lueur malicieuse dans les yeux. Avec amour, tellement d'amour que je me suis sentie submergée, comme au début. j'ai pleuré de joie et M. a rit en me prenat dans ses bras, comme a chaque fois que je pleurais j'avais droit à mon "merdoufontaine, t'as tenu presque un mois sans  pleure, un jour t'y arriveras", je l'ai laissé se moquer de moi, j'ai blotti mon nez dans son cou et je suis restée là longtemps, à l'abris. A l'abris de je ne sais pas quoi d'ailleurs. Mais bon c'etait chaud ca sentait bon et ca calmait mon envie de pleurer.


J'avais demandé à M. de ne pas venir avec moi dans ma famille, je deteste les anniversaire. Les miens en tout cas. Ma mere est depressive a cause dela mort de ma soeur, tout le mond etire la geule et fais semblant d'etre content. C'est source d'angoisse pour moi. je deteste mon anniversaire.

M. accepte de rester à la maison, Je rentrerai surement un peu tard je vais voir Matt et Lesly après , ils ont insisté.

Je vais donc voir ma famille, ca se passe pas trop mal. Je vais voir Lesly et Matt, il y a dautres amis, je suis contente de les revoir au final, meme si une petite voix dans ma tete martele que cette vie me manque. J'enfouis ca ien loin, je m'amuse et je rentre vers 22 heures. Je suis prete a m'excuser aupres de M. de l'avoir fait attendre. mais bon il devrait etre content que ma bonne humeur soit revenue.

j'entre un grand sourire au levres, mais point de M. en vue. Il a du sortir s'aerer. 23 heures, j'ai encore un léger sourire. Il a du aller voir son frere. Minuit j'ai le sourire crispé, il est ou ce con? 3 heures du at, je ne souris plus du tout quand il rentre. Eméché.

"t'etais ou?"

"chez John". aouuuuuuuuuuum.Ok je ne m'enerve pas, Je n'etais pas là.Il peut bien aller voir ses mais, meme si ses amis sont ses musiciens que j'aurais préféré qu'il ne revoit plus tout de suite. J tente un leger sourire "et c'etait bien?" il tangue jusqu'au fauteuil et s'affale. "ouais" c'est bien il parle beaucoup... "y'avait qui? " "hein?" "y'avait qui?" "ou ca?" Ok, jusque là je tentais juste de m'inetresser a sa sorée pour lui montrer qu'il avait le droit de s'amuser que je ne lui en voulait pas, là face a ses reponses vagues de mec bourré qui ment mal, je sens que la reponse a la question ne va pas me plaire "a ta soirée,M. y'avait qui?" "oh tu sais tout les potes de là bas".

"Elle etait là?" je suis legerement crispée mais n'aboyons pas
"qui"
"ton ex M. pas ta mere"
"elle etait pas la"

Ouf je suis rassurée. Mais au bout de quinze secondes j'ai un doute.

"qui n'etais pas la?"
"hein?"
"tu a dis elle n'etais pas la, tu parlais de qui?"
"ben ma mere"

Aujourd'hui en y repensant je ris et je suis attendrie par sa capacité à ne pas répondre à mes questions. Sur le moment j'ai moins ris.

"j'ai dit que je te demandais si ton ex etait là"
"ah j'avais comprit que.."
"MMMMMMMMM. elle etait là ou pas" là vous voyez l'idiotie de la fille qui connait  la reponse mais qui veut l'entendre juste pour pouvoir crier sur son cheri.
"qui ca?"
"TON EX"
"oui"

Il a faillit reussir a me faire perdre le fil de mes idées, mais là, je suis juste jalouse qu'il ait revu cette fille. Je pensais vraiment que je n'entendrais plus jamais parler de cette fille, malheureusement, elle etait amie avec les amis de M. donc il la recroisait. Je le savais en plus qu'il n'en avait plus rien a cirer mais c'etait plus fort que moi

"t'es vraiment qu'un connard"

"Merdouillette on a pas couché sur le sol devant tut le monde et j'allais pas prtir en la voyant"
"ben si evidement" Mauvaise foi quand tu nous tient

"je devrais la bai*** comme ca tu serais contente". J'ai tourné les talons en lui disant que c'etait pas poli.

Soeur Marie merduillette à été se coucher en esperaant que le lendemain les problemes se seraient envolés. j'etais si enervée que j'ai du m'endormir à 7 heures du matin.
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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 00:29
Après notre retour, on a subit un petit passage à vide. Un peu comme en juillet, en moins violent. Mais M. etait morose, moi je faisais semblant de ne rien voir en etudiant car mine de rien j'allais rentrer repasser mes examens en Belgique.

M. avait dit qu'il m'accompagnerait mais 15 jours avant le départ il n'avait toujours pas ses billets, ce qui n'augurait rien de bon. Je l'avais au début secoué "M. il reste un mois et demi, faudrait peut etre prendre tes billets" "t'inquietes pas merdouillette je vais le faire j'ai le temps". J'etais sceptique

"M. il reste 5 semaines avant de partir ce serait bien que tu prennes tes billets" "tu me fatigues merdouillette, t'es sur mon dos tout le temps , je prendrai ces billets quand je le sentirai" c'est vrai ca on oublie trop souvent l'importance d'avoir un bon feeling pour acheter ses billets. M. a levé les yeux aux ciel, moi j'ai été ralé chez ma copine Lesly.

"M. il reste 4 semaines avant de partir" "mmhmmmh". j'ai laissé tombé la piqure de rappel des trois semaines avant le départ. On est deux semaines avant le départ, C'est la veille de mon anniv, M. est assis sur le fauteuil avec sa guitare. Je crois que M. s'ennuyait c'etait plus frt que lui il fallait qu'il joue de la musique, sur scene en studio, ou juste jouer de la guitare pour qqun d'autre mais rester loin de tout ca plusieurs semaines ou mosi ca le rendait fou. Or je lui avait demandé de ne meme pas composer, rien, oublier la musique et penser à moi.

Ce qu'il avait fait, je dois lui reconnaitre ca, malheureusement, je traversais une periode de doute, j'etais jalouse quand Lesly me racontait sa vie "normale" de plus physiquement je me sentais mal, comme on l'est à 16 ans (enfin le lendemain lol). Et plutot que de dire a M. que je me sentais isolée ou que j'avais du mal, je me renfermais, je suis toujours comme ca d'ailleurs. Alors j'etais irritable, aggressive. M. s'est donc retrouvé a faire des sacrifices pour moi qui  le repoussait quand il voulait me caliner, qui l'engueulait sans raison, si je fais tomber mon verre par terre, M. le paye pendant une demi heure. Si il essaye de m'ecouter et de m'aider je lui crie dessus qu'il est debile et que ca ne m'aide pas ce quil dit. Qoi qu'il dise ce n'est pas la bonne chose, quoi qu'il fasse il a tord, alors il m'evite et moi je me sens encore plus mal, et je me dit qu'il en a marre de moi, donc je suis plus aggressive..Etc...

Bref ce jour là M. joue de la musique , je lui parle, il ne repond pas , netourne pas la tete et moi ca m'enerve (alors qu'il en avait juste marre de se faire crier dessus depuis le matin, si je pouvais lui dire aujourdhui a quel point je regrette d'avoir été aussi odieuse, de ne pas avoir pu lui dire "merci de t'etre donné tant de mal pour essayer de m'ecouter et de m'aider". Ou meme "je t'aimais plus que tout, je m'en veux terriblement de t'avoir rendu malheureux". Pensez y la prochaine fois que vous passez vos nerfs sur celui ou celle que vous aimez). Donc je m'enerve que M.  ne me reponde pas. Je lui jette sa guitare par terre, ce qui le met moyennement de mauvaise humeur. Il me repousse plus loin sur le fauteuil, faut croire que je cherchais ca, je le giffle en lui criant qu'il m'a bousculé, que meme une guitarre ne justifie pas de me bousculer, il en a marre, il jette l'eponge, se leve pour partir; je le rattrape par le t-shirt et le repousse dans le fauteuil et je pars.


Je me réfugie chez Lesly, je pleure tout ce que j'ai, elle finit par comprendre ce que je raconte et ma chere amie, fidele a elle meme me remet a ma place "tu vas le faire fuir, M. t'es un peu dure en ce moment; Si tu veux faire ta crise d'ado va crier sur ta mere". ca me fais moyennement plaisir de l'entendre. Puis surtout j'aime pas ma mere comme M. alors quand je me sens mal c'est lui que je provoque pour le faire réagir. je finis par rentrer en pleurs. M. m'attend dans le fauteuil, je me couche contre lui.Il me console quand meme, me rassure. Me demande quand meme ce qui m'arrive. Ben je sais pas moi, je sus irritable. les hormones de l'adolescence, que sais je. M. décide de passer l'éponge.
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 14:25
Je ne pouvais pas l'éviter j'ai tout tenté, mais j'ai du m le taper ce We prolongé de thanksgiving avec sa famille. Toute sa famille. J'aurais pu dire non tout simplement, mais je ne l'ai pas fait.Ca m'apprendra tiens.

J'ai commencé a angoisser la veille, jusque là je m'etais interdit de penser à ca, mais la veille plus le choix, j'en ai mal au ventre et j'angoisse.M. trouve que j'exxagere c'est pas si terrible de voir sa mere (SIIII)

Le jour meme je me réveille avec une grosse paque d'urtiquaire sur la joue.M. se fache sur moi, comment ose-je??? Il est loin le M. qui prend soin de moi et qui s'inquiete , je dois m'excuser d'avoir de l'urtiquaire. ca faisait trop longtemsp qu'il etait un cheri irreprochable, j'aurais du me mefier, ca ne pouvais pas durer, le M. caracteriel revient.

M. passe une heure a chercher ses clés en me ralant dessus "mais j'ai mes clé, M. "
 Non ce sont les siennes qu'il veut. il m'engueule encore j'ai caché ses clés pour l'empecher de partir. Fourbe que je suis. Oh finalement je les avait cachés dans sa poche. Il ne s'excuse pas et n'admet meme pas que ce n'etait pas moi, apres tout j'ai osé avoir de l'urtiquaire,, dieu seul sait quelles autres horreur je suis prete a commettre.


On arrive la bas apres des heures de route ou M. semble avoir retrouvé sa bonne humeur. Moi j'ai une boule au ventre.Sa mere ouvre la porte et se jette sur M. on dirait el retour d'un soldat apres 18 mois de guerre. "oh mon cheri tu as encore cette horreur, tu devrais le jeter" Elle parle de la veste de M..  Enfin elle le prétend parce qu'elle 'ma regardé avec son sale sourire juste apres. Moi j'ai bien capté le message, M. a dit que je me faisais des idées. "Heu mais M., elle n'avait jamais vu cette veste là" "t'es sure" "oui "ooooh merdouillette passe a autre chose.

Mis à part un "oh mon dieu quelle horreur,  c'est degoutant ce truc sur ta joue, je ne sais pas si je vais pouvori manger en regardant ca" auquel quand meme, M. a reagit en l'engueulant, elle a été très calme. Pot de colle envers son dieu de fils, et un sale sourire hypocrite avec moi mais rien d'ouvertement insultant comem au début. J'ai bien eu droit à "tu repars quand en France merdouillette?" "je suis belge" "et tu repars quand" pas tetue la vieille "dans le courant de l'année surement" "M. va te manquer surement"... M. n'etait pas là et quand je lui ait raconté il m'a expliqué que je prenais tout mal et qu'elle avait du juste s'interesser a moi. Oui ou si tu le dit mon cheri.

On y est resté 4 jours, qui ont suffit a faire ressortir tout nos doutes et a nous embrouiller, elle avait ce don là sa mère. Sans grands efforts elle nous éloignait l'un de l'autre juste par sa presence.

J'ai connu de longs moments de solitude assise sur mon fauteuil, M. occupé avec sa famille qui ne degnait pas me parler. et on est rentré en silence a la maison, M. son bras autour de mes epaules dans le train, et moi de plus en plus mal a l'aise face a mes doutes. Lui aussi je crois, il evitait les discussions
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 22:21
J'ai un e capacité hors du commun à ne rien glander, je craignais presque le vide de me retrouver face à M. sans projet de concerts, ni d'enregistrement, ni de quoi que ce soit. Mais finalement je fais ca avec brio, Il commence à faire très froid. Mais ce jour là on avait été épargnés, il faisait doux. Je n'ai pas énormément de souvenirs précis de ces quelques semaines, je n'ai pas marqué grand chose, mais je me rappele de ce soir là. Il commencait a faire sombre, j'etais dans la cuisine a tenter de trouver des chips a manger, quand jai vu M. assis dehors par la porte ouverte (qui avait un espece de grande moustiquaire double).

J'ai senti sa mélancolie, de dos, j'avais pas besoin de voir son visage pour savoir de quelle humeur il etait.

J'ai donc été m'asseoir à coté de lui. Il ne m'a d'abord pas regardée, le regard dans le vide. J'ai passé mon bras autour du sien. On etait en t-shirt. Je ne suis pas foutue de me rappeler   ce qu'on  a bien pu faire de nos journées après son dernier concert, j'ai mit 20 ans à me rappeler la date de naissance de ma mere, je ne sais plus comment finit le livre que j'ai lu le mois dernier.Mais je me rappele que son bras était chaud. M. etait tjs tout chaud, mon chauffage personnel. Je me rappele assi que j'ai été émue de le regarde comme ca, au coucher du soleil. Mais je n'ai pas su quoi dire. Il a finit par poser sa tete sur la mienne et s'excuser de tout ce que j'avais du supporter. "comment t'as fait merdouillette". Il avait vraiment l'air triste, incnsolable, il avait des périodes comme ca. Certaines personnes sont melancoliques par nature, ou de par la vie. Je ne sais pas trop quelle etait sa raison, mais M. etait fragile.

"ben parce que je t'aime"

moi meme elle me fait rire cette phrase, aujourd'hui elle  n'existe plus cette fille là . je ne sais meme pas comment j'ai fait, je ne sais pas si aujourd'hu je serais capable de le refaire. J'ai mit la melancolie de ce soir là sur le compte de son anniversaire récent, j'ai posé ma tete sur son épaule et je l'ai trouvé grand et fort.

Mon absence de ces dernières semaines s'explique en partie par mon boulot. en partie aussi parce que j'ai prit mon courage a deux mains et profiter d'un passage aux etats unis-pour recontacter des personnes que j'y avais connu . John,  la mere de M. et d'autres  amis de M. ce fut tres fort et eprouvant mais liberateur. Et moins terrible que ce que je cragnais.

J'y ait retrouvé des photos. Dont une notamment de cette période là.M n'tais pas musclé, il avait l'air petite et fragile. Mais ce qui m'a frappé c'est moi.Je ne m'etais plus vu en photo de cet age la depuis.ben jamais. et j'etais toute maigre, j'avais vraiment l'air d'un oiseau cassé. je ne sais pas ou j'ai trouvé la force, ca 'a surement un peu usée tout ca. Il y a un fossé entre M. et moi sur cette photo. j'ai l'air d'un bébé innocent, M. d'un homme fragile.

Bon malgre ca ca se voit aussi sur cette photo ce lien qui nous unissait. c'est ce paradoxe que j'ai ressenti ce soir là.  Ce bn'etait pas evident d'etre ensemble, mais impossible d'etre l'un sans l'autre.
 
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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 13:50
désolée de mon absence prolongée, je reviens ce WE promis.
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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 22:03
Dernier concert. Je me tiens sagement près du batteur.Huuuuuuum.Sa copine arrive. "c'est le dernier concert ca se fete". Hum ouaiiiiis.je prie pour que  cette idiote reste loin de l'inge son, de tt le monde en fait. Les gens se marrent en voyant le batteur entre nous deux. Elle se questionne

"chaton pourquoi ils rient" chaton a un regard accusateur vers moi

"et si on allait se boire une bierre entre fille?"

C'est la seule chose qui me vient a l'esprit.

"je te l'offre"

"heu ouais si tu veux" repond elle aussi motivée que si le binoclard de la classe lui avait proposé un cinema en lui postillonant dessus. Je suis vaguement vexée, je me sens un tit peu comme une merde mais je dois garder loin de tt le monde cette fille.On boit une bierre,  je suis stressée, je la bois quasi cul sec j'en prend une deuxieme.J'ai mal au ventre a la tete et je dois faire pipi. De plus j'ai 4 bierres a payer et je suis comme la reine d'angleterre je n'ai jamais d'argent sur moi, M. paye tout (en y repensant j'etais quand meme grave). Je me decide donc a la laisser la, je lui beggaye que je reviens "tu bouze pas heiiiiiin" je titube jusqu'au toilette, copine le manager dans le couloir et lui pique de l'argent. je retourne m'asseoir avec ma nouvelle copine qui supporte aussi bien l'alcool que moi.On est raide. Mais elle s'est un fille de 26 ans raide, moi je suis une petite nature de  15 ans bourrée.


"merdouillette je t'offre encore une bierre " youpiiiiie, je vais mourrir. Je finis ma troisieme bierre quand le manager vient nous recuperer "ah bon ils ont finit le concert? Je tente de me lever de ma chaise mais de toute evidence  on m'a coupé les jambes, je suis quasi sur les genoux. Je finis quand meme par reussir a tituber jusqu'au bus. A retourner a l'hotel et la grande difficulté pour finir dans la chambre de M. autant j'etais euphorique avant autant en arrivant ca m'est passé et meme si je ne suis plus bourrée, j'ai la nausée. Je m'assied sur le lit

"t'es bourrée merdouillette". Il rit et se moque de moi mais doit le regretter imemdiatement.Je fond en larme "je suis malaaaade, c'est la decheance, c'est la honte". M. s'assied a coté de moi  et prend ma tete sur son torse. "mais noooon meroduillette personne n'a rien remarqué t'etais loin de nous.je suis toute disposée a le croire.Mais voila uen autre chose pour laquelle je n'etais pas assez mature, boire. S'en est suivit une soirée a vomir, pleurer et reclamer ma moman (oui meme pas honte). Et deux obsession "tu m'aimes encore??" et "brosses moi les cheveux".M. a veilél sur moi tendrement.je ne me rappele pas tout, mais j'etais couchée sur le lit, il etait assis a coté de moi et me caressait el front en me repetant patiement que non, je n'etais pas l'etre le pulus pitoyable du monde, non personne n'avait rien remarqué, oui il m'aimait encore, oui il avait ete dans des etats bien pire, non merdouillette faire pipi dans ce lit c'est pas une bonne idée, on va aller au toilette.J'ai finit par m'endormir, me reveiller le lendemain deprimée, malade et bien contente de rentrer a la maison. ca a un peu gaché le dernier jour de concert, le premier jour de liberté. M. me souriait le matin. Je descend en premiere comme d'hab en faisant bien attention que personne ne me remarque, je vais vers les escaliers, je croise ma copine de beuverie "salut" et BAM .. Un coup de poing dans l'oeil.Ca fait mal, je ne me doutais pas. Ah elle sait pour la rumeur.

J'ai finit dans les toilette du resto en bas a pleurer trois bonnes heures. Le manager a finit par me rejoindre, puis John, puis M. Ils avaient l'air tristes pour moi. M. a finit par rester seul avec moi.Il avait l'air mal.

"t'es faché parce que je suis nulle?"

"non je suis faché sur moi car tu n'en serais pas la sans moi, j'ai l'impression de ne pas pouvori te proteger, t'as l'air d'un oisillon blessé" Il n'avait pas tord, je n'etais pas prete pour tout ca. On est rentrés a la maison, on s'est couchés tot et je me suis reveillée le lendemain, mon gros chagrin passé. Je me suis etendue et là ca m'a heurté

J'avais M. pour moi toute seule. Je l'ai serré dans mes bras, il a sourit

"ca va mieux"

"ouiiiii"

"tant mieux"

Il m'embrassait dans le cou quand une pensée m'a traversé l'esprit

"il vont me manquer tous" C'est ce jour là que M. m'a decerné l'oscar de la chieuse la plus talentueuse de tout les temps. ben Ouais mais je m'etais habituée a eux, meme au manager.

"t'inquietes tu les verrs encore" Mince je regrette presque deja mes paroles
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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 21:22
Il reste trois concerts. Je ne touche plus terre. Ce soir là c'est un autre ingé son que d'habitude, je ne sais plus pourquoi. Je crois que l'autre c'etaait cassé un truc (une cote ou quelque chose comme ca, je suis un monstre sans coeur et sans pitié pour ce pauvre homme et sa douleur). M. est donc sur scene, john aussi, les deux autres musiciens aussi.Il me reste le choix entre rester avec le manager, une rousse soulante et m'asseoir sur une chaise pres de l'inge son. Je choisis la chaise.J'aurais du savoir que ca finirait mal. L'homme se met donc a me parler. Le manager finit par venir au bout de 20 minutes "faudrait changer ca" (oui un autre detail oublié, que voulait il donc changer?).L'ingé son s'execute et me regarde

"y'a rien de plus chiant qu'un manager" Lance je innocement (refermant moi meme bien soigneusement le piege sur moi)

"oh y'a pire la copine du chanteur est generalement redoutable"

"oh ben non moi je suis pas chiante".

Silence. Il me fixe avec horreur

"t'es la copine du chanteur"??? Là on l'a tous connu ce moment ou on se demande pourquoiiiiiii mon dieu pourquoi on ne sait pas se taire (l'incapacité a se taire etant un trait hereditaire dans ma famille, la fatigue agravant le syndrome,  je suis blonde, il fallait bien qu'un jour je me trahisse

"non non bien sur que non"

"pourquoi tu parles avec une voix si aigue, t'es tte rouge"

Là j'ai juste pu begayer, et remarquer que le manager qui n'etait pas loin me fusillait du regard. 

"je sors avec le batteur mais si sa copine l'apprend elle va me tuer". Il m'a encore regardé avec un doute mais j'ai reussit a avoir l'air credible.je me suis fait engueuler par le manager, j'ai eu envie de pleurer toute la soirée d'etre aussi bete. M. ne m'a rien dit j'en ai donc conclu qu'il ne savait pas. Enfin jusqu'a ce qu'on soit au lit et que je sente le sommeil me tomber dessus.

"Il est bien au lit le batteur?" Hum, le sommeil m'est passé 

j'essaye de ne pas repondre, lui il est mort de rire, je me retourne pour le regarder "oh merdouillette te vexe pas au moins il y a cru, et toutes les personnes a qui il en a parlé aussi, ca regle bien des problemes ta betise" Chouette il a raconter a tout le monde sa decouverte. Je me retourne, je rale. Il embrasse mon dos

"je t'aime quand meme, meme si t'es bete"

"lache moi"

"merdouillette"

"lache moiiiiiiii"

"merdou"

"LAAAAAAAAAAACHES MOI BORDEL"

"tais toi merdouillette tout le monde va savoir que tu trompes les batteur avec le chanteur, deja que tout le monde croit que t'as couché avec John (le guitariste donc)"

Il est franchement hilare.Moi franchement pas.

"tout le monde croit que TOI t'as couché avec John" Là c'est moi qui rit et lui qui est vexé/

Mr a finit apr clore la discu par "il est grand temps que cette tournée s'arrete"

Tu l'as dit bouffi
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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 22:31

(j'ai ecrit ce post hier matin mais j'ai sauvé dans mes brouillons plutot que de l'envoyer, on est blonde ou on l'est pas)


Je suis intenable, je peux compter les jours jusqu'au dernier concert, les minutes même. Je me lève le matin je souris, je dejeune en chantonnant, le soleil se couche de plus en plus tot, moi je rayonne en permanance, ca a l'air de suffir a remonter le moral de M. Il me regarde amusé en permanance, surtout quand je crache mon lait de cereale le matin parce que je ris, sans raison, comme ca m'arrive trop souvent. Je suis trop heureuse que pour avoir honte.



Ce matin là, on marche dans la rue pour rentrer, On est fatigué on rentre de trois jours de concerts fatiguants. On monte des escaliers qui menent a notre rue, et à, je tombe nez a nez avec une souris, mais elle ne me fait pas peur, elle traine la patte. elle se traine, elle me fait mal au coeur. Je m'arrete et regarde M. je ne supporte pas de voir de la souffrance.. je regarde M. il sait que je vais faire ma chieuse, il a l'air incredule


« merdouillette c'est une souris blessée qu'est ce que tu veux y faire? » il est un peu enervé, je lui fait un regard digne du chat potté de shrek et il cede. je me sens comme une princesse servie par son prince charmant, M. ramasse mousiesouris (oui je lui ait donné un nom) et me regarde, « bon ben on rentre »


il m'a visiblement mal comprise.


« faut l'emmener chez un veterinaire »


Il rit « merdouillette tu te fous de moi, tu crois qu'on va aller payer un veterinaire pour une souris qui va mourir de toute facon , ca soigne pas les souris les veterinaire.


ben croyez le ou non, ca soigne les souris, et ca coute cher. Ca m'a surtout couté cher en moquerie de M. pendant des semaines apres ca.


Bon, on rentre donc avec mousiesouris dont le diagnostique vital est incertain (ouais je suis fan de grey's anatomy :D) et M. dont le diagnostique bonne humeur est incertain :D


Bon je crois que dans le fond il etait attendrit d'etre avec une fille terrorisée par les souris mais incapable d'en laisser souffrir une.


On a donc installé mousiesouris dans une petite boite, que j'ai refusé d'approché, donc c'est M. qui s'y est collé pendant 2 jours pour la nourrir. Jusqu'au jour ou cette ingrate remise de ses peines est sortie de sa boite et que j'ai grimpé sur la table en hurlant et pleurant et que M. a passé ¾ d'heure a mettre cette sale bete dehors. J'ai daigné rejoindre le fauteuil, il m'a prit dans les bras et 'a dit doucement, tu sais que tu es la pire des chieuses sur terre? » oui je savais, et je savais aussi que j'etais fiere de lui et de me sentir aimée au point de supporter tout ces caprices, n'empeche je lai regardé comme un saint, ou un super hero pendant 1 semaine apres ca, il etait flatté


 

Il pouvait etre mechant, irritable, caracteriel, comme adorable, attendrissant et serviable. Mon amour mi ange mi demon

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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 23:54
M. est toujours irritable, toujours melancolique, ca devait etre dans son temperament, en plus de la tristesse qu'il éprouvait de savoir son ami mort , il avait tendance à se renfermer à devenir désagréable et tout le monde payait quand il etait triste. Je commencais a saturer, les vieux demaons du temps ou ca se degradait revenaient.Sauf que je ne me sentais pas de revenir aussi loin.

"je veux bien que tu sois triste mais montres le autrement, tu me fatigues"
"je veux bien que tu sois triste mais montres le autrement, tu me fatigues"
"c'est malin de me repeter" en plus il parlait avec une voix aigue sensée m'imiter, c'etait raté et enervant
"c'est malin de me repeter"

"t'es vraiment qu'un gamin"

"c'est toi qui me dit ca?" j'hesite a me demander si il ne cherche pas a en arriver la depuis le debut de cette discution.

Il m'a balancé le toast qu'il mangeait à la figure. j'hallucine, je vois rouge. Je me leve pour partir, on est a trois heures en train de chez nous, donc d chez ma mere, je suis decidée a partir, il revient dans deux jours de ces concerts, on verra si ca le fait réfléchir. M. s'accroche a ma manche s'excuse, se trouve des excuses, promet de se calmer, il a l'air angoissé que je parte, je décide donc d'etre tres bonne et de pardonner. je lui ecrase quand meme son toast dans la figure.

Le lendemain, on est à une table avec les musiciens et des techniciens, M. parle. je ne sais plus de quoi , il a juste dit

"il faudrait que j'aille heuuuuuuu" comme d'hab il traine et moi ca sort tout seul
"chez le coiffeur?" c'est vrai ses cheveux sont trop longs.Tout le monde explose de rire, sauf lui, il me regrde mechament, bon ok, il est pas content mais je le regarde mechament aussi, il me soule a me traiter comme ca. Mon coca arrive.  Je fais un geste de la main et fais vasciller mon verre et il le rattrape "fais attention espece d'abrutie" là c'en est trop, je me suis barrée, il m'a suivi dans la rue, supplié mais jen'ai aps cédé, ca ne me plaisait pas, mais on aurait dit que tant que j'acceptais de pardonner, il faisait pire pres;Je l'envoie donc bouler, en lui demandant de revenir me voir des qu'il sera de meilleur humeur.

Je suis chez ma mere donc, M. appele tout les jours,  mais j'ai pas envie de lui parler.je me dit qu'on va de nouveau recasser, je suis tentée de courrir le rejoindre mais en même temps je ne veux pas céder, et je me fais peur il me manque moins, le deuxieme jour, quasi pas le troisième, enfin mon coeur fait quand même un bon quand on sonne que jouvre la porte et qu'il est a genoux devant moi, unpaquet de chips ouvert tendu vers moi, il a un air pitoyable mais drle, j'aurais eu le temps de reflechir et je l'aurais voulu que je n'aurais pas pu resisster a rire, il est tres fort.

"ca va pas suffir M" je tente d'avance pour partir, il me suit a genoux, s'accroche a ma jambe et moi je ris, il el sait que c'est deja dans la poche.

Il me menace de me suivre comme ca jusqu'a ce que je pardonne. alors je cède, on finit assis sur le bord du trottoir, au soleil couchant, il me file sa veste car j'etais en tshirt, du coup il a froid, tant pis pour lui. je mange mes chips , tente de lui faire avouer que si il etait ouvert c'est parce qu'il a pas pu s'empecher d'en manger en venant, il 'membrasse sur la tempe et meme si je me dit que je suis bete de pardonner si vite, je suis rassurée de l'aimer encore aussi fort. (Et ils etaient drolement bons ces chips, je n'en ai jamais trouvé en europe, M. n'en a meme pas eu un, vous voyez que je savais etre dur avec lui)
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25 janvier 2009 7 25 /01 /janvier /2009 23:18

Halloween est passé. Pour la plupart des gens, qui ont d'ailleurs importé haloween, c'est gai, on se déguise, on mange des bonbons, moi je HAIS cette fête. je ne la connaissais pas trop d'ailleurs. Mais là, je commencais a avoir des crises d'angoisses quelques jours avant. l'idée de tout ces gosses déguisés qui viennent sonner ca m'angoisse. J'en ai mal  au ventre. Oui ca fait peur une folle pareille, mais vous commencez à me connaître. J'implore M. de partir en vacance a cette période "On peut as merdouillette, j'ai mes derniers concerts après, pourquoi tu veux partir?" "je suis fatiguée j'ai envie de soleil" Non en fait je suis une fille de 15 ans qui fuit tout ce qui peut faire bébé, je vomit disneyland, j'execre winnie l'ourson (pardon, winnie, pardon), et les fêtes pour enfants ben je les fuis. d'ailleurs le manager et les musiciens ne me ratent pas tout le mois d'octobre


« tu vas te deguiser en sorciere merdoouillette » rire gras, moi je tire la tronche

« M. va t'emmener faire le tour du quartier ce soir » hi hi ha ha qu'est ce qu'on se marre.


Le soir d'haloween, M. est là, ses amis aussi, je passe la soirée a avoir des sueurs froide. Les amis de M. se moquent de moi. M. est morose, il l'est depuis qu'il a apprit que son ami est mort. J'évite les sujet en craignant qu'on reparte comme en juillet. Un homme arrive que je ne connais pas. Un des musiciens me dit qqchose, je ne sais plus quoi, il se moquait


«  pourquoi t'as quel age? » L'homme a l'air intrigué


« 19 ans » le manager a abboyé plus vite que son ombre. les autres ne se sont plus moqués, j'ai apprit plus tard que cet homme était journaliste, ca a au moins sauvé ma soirée, je n'ai plus eu droit a des remarques pour qu'il ne se doute de rien.


La télé est allumée, M. a le regard dans le vide, ils boivent des bières, y'a du passage dans la rue. J. décide d'aller m'assoir derriere sur les marches qui donnent dans le jardin. Il y a encore la guirlande de lampions que M. a mit là pour moi, ca donne une jolie lumière dans la nuit noire ca donne un effet magique. Je me laisse aller à réver. M. arrive et s'assied a coté de moi, il s'es a moitié couché a coté de moi, en appui sur un coude, il sa tete a coté de mon bras, pourquoi je me rappele tres clairement de ca j'en sais rien, mais j'avais un peu froid ca me rechauffais de l'avoir tout contre moi, il me fixait, j'entendais le bruit des autres à l'intérieur et ca augmentais ma proximité avec M. on etait dans notre bulle. Il m'a embrassé le bras. Le Bonheur.


je ne me rappele pas quand on a commencé à parlé, qui a brisé le silence, ni ce qui s'est dit, je me rappele juste qu'on parlé de toutes ces choses d'americain qu'il avait fait et que je n'avais pas connu, jouer au base balla occupé une grande partie de notre discussion. puis il a parlé d'un truc qu'il faisait « quand j'etais gamin, j'avais 14 -15 ans ». Il a réalisé ce qu'il venait de dire.je me suis jamais sentie aussi jeune. « j'etais pas très en avance ». jai pensé très fort moi non plus, je me suis demandé si lui aussi l'avait pensé. Et je ne sais pas pourquoi, j'ai eu l'impression d'etre cette fille banale qui trainait avec eve, qui faisait des trucs de gamine, j'ai repensé a notre dernier été, ou on fumait des allumettes, persuadées qu'on les fumait vraiment, et ca m'a manqué, pour la première fois depuis 10 mois j'ai regretté ma vie d'avant, j'ai voulu revenir en arrière, sortir de ma prison dorée, arreter de vivre une vie que je n'etais ps assez mature pour vivre. j'ai regardé autour de moi, dans cette maison, ma maisonette, qui n'etait aps ma maison, je n'etais pas dans mon pays, avec mes amis, ni dans ma maison avec ma famille, et je me suis sentie horriblement seule.


j'ai été tirée de ma melancolie par M. qui levait mon t-shirt dans le dos et qui me mordait


« qu'est ce que tu fous ??»Je me marre, je suis hyper chatouilleuse et il me mord la taille. Il a du sentir que je cogitais trop, et sa facon de regler le probleme a lui c'etait de me chatouiller la par terre. Je riais et criait pour qu'il arrete, quand j'ai vu la tete du manager passer par la porte.


« Tu ne peux pas rire un peu moi comme une fille? » M. et moi on s'est prit un fou rire en se demandant ce qu'il voulait dire.


Les autres n'ont pas comprit poruquoi j'ai parlé comme nounours le reste de la soirée, ni pourquoi ca a tant fait rire M.

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